The Black Dahlia Murder + Skeletonwitch + Deep In Hate + Fleshgod Apocalypse
Death Metal
The Black Dahlia Murder
Depuis 10 ans sur le champ de bataille du death mélodique, voir pire, du deathcore, The Black Dahlia Murder s’inspire des grands noms de la scène Gothenburg, en particulier At the Gates. Après avoir partagé la scène avec quelques grands noms comme Arch Enemy, Napalm Death, The Red Chord ou encore Terror, le groupe revient avec Ritual, album qui tente quelques petites expérimentations, prouvant que l’on peut être pionner dans le genre et savoir apporter du nouveau dans son style.
Skeletonwitch
Pour nous ouvrir l’appétit, quoi de mieux que Skeletonwitch, groupe de heavy metal sorti tout droit des confins de l’Ohio en 2003. A force de tournées underground intensives pour promouvoir un premier album et un EP autoproduits, le groupe attire l’attention du label Prosthetic Records qui les signe en 2007. Se suivent alors trois albums dont le dernier en date Forever Abomination vient tout juste de voir le jour. Produit par Matt Hyde (Slayer, Hatebreed), l’album accueille un nouveau batteur, Dustin Boltjes, décrit par les autres membres du groupe comme “une bête derrière une batterie”. Forever Abomination est salué par la communauté métal et Skeletonwitch compterait même parmi leurs fans les célèbres Bill Ward (Black Sabbath) et Robb Flynn (Machine Head).
Deep In Hate
Death Metal
Deep In Hate est un groupe de Brutal Death Metal formé en 2003 en région parisienne. Leur premier album Only The Strong Survive sort en 2007 et leur donne l’occasion de jouer de nombreux concerts pour peaufiner leur identité scénique. Pour leur deuxième album, Deep In Hate décide de s’inspirer des tendances métal nord-américaines en ajoutant plus de groove et de riffs hardcore à leur musique. Le résultat s’incarne dans Origins of Inequality, le deuxième opus du groupe qui sort au printemps 2011 et dont le son colérique va même jusqu’à faire des vagues du côté de nos voisins d’outre-Rhin.
Fleshgod Apocalypse
Death Metal
C’est peut-être le passé musical de leur pays qui a influencé la musique de Fleshgod Apocalypse. Depuis leurs débuts en 2007, le groupe venu d’Italie marie la violence du Brutal Death Metal avec la grandeur de la musique symphonique dans des morceaux aux titres aussi différents que “Requiem in Si Minore” et “Retrieving my Carcass,” tirés de leur premier album Oracles. L’EP qui suit, Mafia, leur ouvre les portes des Etats-Unis, du Canada et de la Russie ainsi que de nombreux festivals sur le Vieux Continent. Fort de ce succès, le groupe revient en 2011 avec Agony, un album qui s’appuie sur des orchestrations encore plus spectaculaires et un Brutal Metal encore plus monstrueux, pour un résultat tout bonnement ravageur.