Black Bomb A

Metal

Quand on parle des groupes français ayant marqué la scène métal des années 2000, bien lent serait celui qui tarderait à citer le nom de BLACK BOMB A. Frères d’armes des plus grands, et notamment membres historiques du collectif Sriracha (Watcha, Lofofora…), le combo parisien est de retour dans nos belles montagnes pour faire headbanger toutes les générations de metalheads et ce, sans aucune pitié !
Véritables piliers de la scène métal française, Black Bomb A a toujours laissé une marque indélébile dans l’esprit de celles et ceux qui ont eu la chance de les voir sur scène. Aujourd’hui, c’est avec un son définitivement plus hardcore que Black Bomb A reviens sur scène, avec ses deux chanteurs d’origine et la même hargne que dans les années 2000. Ils ont donc décidé de ne pas faire dans la demi-mesure : tempo rapide, riffs hardcore et punk basiques expédiés en pleine face et double chants toujours aussi énervés, le tout pour un rendu très agressif et visuel sur scène. Une bonne dose de violence, à l’ancienne.

As they burn

AS THEY BURN, c’est une grande première au Brise Glace dans l’esthétique deathcore ! Dans l’arborescence tortueuse du métal, ce style est le dernier né d’une longue lignée de grandes familles comme le death metal, le Metalcore et le Punk-Hardcore. Du break-down à la pelle, des rythmiques martelées, et une composition minimaliste, plus axée sur l’énergie que la technique pure, voilà ce qui pourrait définir au mieux le style AS THEY BURN !

Attendez-vous à une leçon de maître et une puissance de feu rarement vues encore en nos murs. Il faudra donc être avec nous ce soir-là, d’autant plus que nous savons maintenant que le groupe tirera sa révérence après cette tournée. Une raison supplémentaire pour profiter de cette opportunité et les voir en live, car ce sera la première et dernière sur Annecy !

Voice of ruin

Pour celles et ceux qui auraient déserté les concerts de la scène franco-suisse, voilà un bref retour sur l’immense travail accompli par les jeunes fermiers helvètes de VOICE OF RUIN. On pourrait penser, de prime abord, que ces braves gaillards, véritables icônes du horny farmer metal, ont comme principale motivation de gagner du cash et de le dépenser en alcool et en femmes… Eh bien, détrompez-vous ! Car c’est avec une maturité déconcertante que le quintet aborde la scène et dispense de son mojo (ndlr : ils appellent ça le Hard Sex) depuis 2008. En somme, une ouverture comme vous en verrez rarement ici, car ces gars-là risquent de retourner le Brise Glace encore plus que les headliners.